Search

Shopping cart

Saved articles

You have not yet added any article to your bookmarks!

Browse articles
Newsletter image

Subscribe to the Newsletter

Join 10k+ people to get notified about new posts, news and tips.

Do not worry we don't spam!

GDPR Compliance

We use cookies to ensure you get the best experience on our website. By continuing to use our site, you accept our use of cookies, Privacy Policy, and Terms of Service.

Le travail qui guérit - L'individu, l'entreprise, la société

Le travail qui guérit - L'individu, l'entreprise, la société

Le psychiatre Jean-Michel Oughourlian s'est immergé dans les extraordinaires " usines apprenantes " de la Fondation Amipi où le travail guérit. L'entreprise est un lieu de production, c'est aussi un lieu où se fabrique l'être humain.
Elles sont six, réparties entre Nantes, Le Mans, Tours et Cholet. Six usines où sont fabriqués les systèmes de câblages électriques équipant des voitures haut de gamme. Leur particularité ? Tous les opérateurs sont des handicapés mentaux : porteurs de trisomie 21, souffrant d'autisme, de schizophrénie, de retards cognitifs importants... Pourtant, ils travaillent tous. Ils ont un salaire, des contraintes ; en somme une vie professionnelle " normale ", et un objectif : la réinsertion en milieu " classique " (usine, entrepôt, commerce...). Le psychiatre Jean-Michel Oughourlian s'est immergé dans ces extraordinaires " usines apprenantes " de la Fondation AMIPI-Bernard Vendre. Son constat ? " L'usine réussit là où la psychiatrie a échoué. À l'hôpital, beaucoup parmi ces opérateurs seraient des légumes. Là, ils progressent. " Qu'est-ce que l'intelligence ? Comment le travail manuel peut-il agir sur les neurones et les synapses du cerveau ? Quel rôle tient le mimétisme dans la " normalisation " de ceux que l'on appelle handicapés ? S'appuyant sur des études neurologiques, ce livre est d'abord un récit. L'histoire de celles et ceux qui, comme Bernard Vendre, eurent un jour droit à ce verdict terrible : " Débile il est, débile il restera. " Mais " débiles ", ils ne le sont pas...

Comments