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Et si on dansait ?

Et si on dansait ?

Après La grammaire est une chanson douce, après Les Chevaliers du Subjonctif, après La révolte des accents, Erik Orsenna poursuit les aventures grammaticales de son héroïne Jeanne et de son frère Tom. Ou comment vont-ils découvrir cette fois l’art de ponctuer leur vie…
Jeanne a seize ans désormais. Depuis les débuts de son exploration de la grammaire, elle a grandi et s’est enhardie. Elle est aujourd’hui à la tête d’un commerce illicite : elle rédige et monnaye les devoirs des élèves de l’île. De fil en aiguille, elle va devenir le nègre des hommes politiques et rédiger leurs discours. C’est à cette occasion, l’élargissement de sa clientèle au monde politique, que l’importance de la ponctuation lui saute aux yeux, ou plutôt aux oreilles. Avec l’aide de Tom, son frère musicien, elle apprend les bases de la musique et du rythme pour parfaire les discours qu’elle écrit. Car qu’est-ce qu’un discours sinon une sorte de chanson où la musique, le ton, le rythme jouent un rôle aussi grand que les paroles ?
Jeanne va trouver à cette recherche un intérêt tout particulier. Car elle est tombée amoureuse. Et la ponctuation n’a-t-elle pas été inventée pour exprimer les sentiments, marquer le rythme du cœur, noter les nuances affectives ?
Alors comment ponctuer un texte ? Comment animer sa vie ? Et si, au lieu de la subir, on la dansait ?

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