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Un si beau jour pour mourir

Un si beau jour pour mourir

Oswald Escarpit mourut le 17 octobre 1942. Ce jour-là, Robert Escarpit, son petit-fils, eut la certitude qu'un long chapitre de l'histoire familiale s'achevait. Cinquante ans plus tard, il a senti que l'heure était venue de brosser cette chronique peu commune. Tout commence avec les grands-parents d'Oswald, descendus des Pyrénées, ou venus depuis le Béarn jusqu'à Langon au hasard des emplois et des fortunes sentimentales. Les uns sont poussés par la nécessité, les autres rêvent de transformer leurs contemporains par la religion ou par la révolution. Qu'ils soient instituteurs, marchands, tailleurs ou navigateurs, ils ont le même amour de la République, de la justice, de leur terre et de leur langue. Oswald, charpentier illettré devenu employé de banque et musicien, incarnera leurs rêves, au point de devenir la clé de voûte du clan. Aujourd'hui encore, grâce au talent de son petit-fils, sa stature et son histoire restent étonnamment présentes avec, en toile de fond, les malheurs et les rites d'un monde aujourd'hui englouti.

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