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La peau de l'ombre

La peau de l'ombre

En écrivant La peau de l’ombre, Patrick Ravignant ne se doutait peut-être pas qu’il jouait un vilain tour aux amateurs de genres et d’écoles : Est-ce un roman de science fiction et de fantasmagorie ? Est-ce une satire des mœurs et des idées contemporaines ? Est-ce un pamphlet ? Est-ce un poème ? Est-ce une œuvre lyrique ? C’est à la fois tout cela, et bien autre chose encore. Aucune des définitions littéraires traditionnelles ne saurait convenir à La peau de l’ombre. C’est un livre étrange, fou, barbare, sensuel, et visionnaire, qui roule avec le rythme de la mer, autour du double thème de l’Amour et de la Mort, tout en poursuivant dans un grand halètement d’images et de verbe, une implacable critique de la société actuelle, ainsi qu’une recherche de valeurs humaines essentielles. Rythme de la mer, mais rythme aussi des gigantesques machines, qui, telles cette machine-à-fabriquer-les-civilisations, tentent à écraser les hommes de notre temps. La peau de l’ombre est un livre marginal, qu’on ne peut assimiler, ni même comparer à aucune forme de littérature moderne, mais c’est une œuvre, qui par l’ampleur des problèmes soulevés, est véritablement à la mesure de l’époque, avec ce qu’elle comporte de démoniaque, de grandiose et de ridicule.

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