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Une sorte de nitescence langoureuse

Une sorte de nitescence langoureuse

L’une, forte de sa longue expérience dans le domaine de la rédaction scientifique, vient de publier un premier roman intitulé Une sorte de nitescence langoureuse ; l’autre, qui n’en est pas à sa première expérience littéraire, a lancé Rendez-vous sur Apocalypse, son nouveau roman de science-fiction. Pour l’une, la critique institutionnelle remarquera, au fil des semaines, « l’écriture qui transcende la trivialité des représentations », « la noirceur éclatante de son propos » et « sa grande maturité ». Certains iront jusqu’à la comparer à « Boris Vian pour sa façon fantaisiste de décrire la réalité », voire à « Marguerite Duras pour son style s’égarant sur les choses ». Sans oublier, bien sûr, de recommander le titre à « quiconque aime s’immerger dans les livres et en ressortir complètement dépaysé ». Pour l’autre, il y aura l’habituelle attente, heureusement compensée par l’enthousiasme communicateur des amateurs de science-fiction, qui aiment se réunir et discuter de leur genre préféré, mais aussi par les pertinentes analyses de certains blogues spécialisés. Or, voici que l’une et l’autre ont été invitées à la même émission littéraire… Une sorte de nitescence langoureuse, ou quand Sylvie Bérard, forte de ses expériences littéraires et universitaires, nous offre un habile mélange d’autofiction et d’(im)pertinentes réflexions sur le monde littéraire d’aujourd’hui, l’ensemble magnifiquement illustré par Bernard Duchesne.

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